Financiación: Programa Europeo ERASMUS+
Coordinador: Haute Ecole Libre de Bruxelles – Ilya Prigogine (Belgium),
Socios: LYCEE JEAN LURCAT – LYCEE D’ENSEIGNEMENT GENERAL ET TECHNOLOGIQUE (France) , Fundación Universidad San Jorge (Spain), Beijing City University (China)
Periodo de ejecución: 2 years ( 01/11/2017-31/10/2019)
Presupuesto: 162.325 €
Abstract:
Ce projet s’inscrit dans une dynamique européenne et internationale ciblant la MOBILITE EUROPEENNE ET INTERNATIONALE DES
JEUNES DE 20 à 25 ANS.
Il vise en PRIORITE à:
– l’ACQUISITIONS DE QUALIFICATIONS et de COMPETENCES CLES afin de favoriser l’EMPLOYABILITE
– l’ACQUISITION DE COMPETENCES ENTREPREUNEURIALES
– l’ACQUISITION DE COMPTENCES LINGUISTIQUES
– l’ACQUISITION DE COMPETENCES SOCIO AFFECTIVES afin de développer les capacités à VIVRE et ou TRAVAILLER dans un milieu MULTICULTUREL
Le projet est né de plusieurs constats effectués dans plusieurs pays européens au regard de leurs relations commerciales et institutionnelles avec la Chine.
- C’est une évidence, les pays asiatiques et en particulier la Chine prennent de plus en plus part à notre économie, ce qui se traduit par un afflux d’entreprises qui viennent s’installer en Europe. (exemple très récent : le China Belgium Technology Center qui va s’établir à Louvain La Neuve)
- Et l’inverse est également vrai, beaucoup d’entreprises européennes veulent découvrir le marché asiatique.
- Ces nouvelles entreprises devront, comme toute entreprise, communiquer avec ses leurs nombreux partenaires.
- Mais toutes risquent de rencontrer des problèmes de langues ainsi qu’être confrontées aux différences culturelles.
- Par ailleurs, en Chine, il existe peu de formation de niveau baccalauréat (L2 / L3) en communication formant des cadres intermédiaires (capables de s’exprimer en plusieurs langues) au nom de l’entreprise qu’ils représentent.
- Par ailleurs, toute entreprise chinoise qui voudrait vendre des produits sur le sol européen devrait se soumettre aux différentes réglementations applicables dans son secteur d’activité. Une bonne connaissance du fonctionnement des institutions européennes nous semble dans ce cas indispensable. Bruxelles, c’est 20.000 lobbyistes qui travaillent pour plus de 8.600 organisations.
